:fleche: Amérique
Après sa petite escursion à New York, Serval décida d'aller dire bonjour à la mère patrie. Il sortit de l'avion, un vieu zinc qui semblait tout droit sortit de la guerre froide.La nèige battait la piste et les visages des voyageurs. Le panneau dans le hall de l'aéroport indiquait:
<<Moscow/ 26 Mars/-30°C/15h01>>.
Il sortit de l'aéroport et appela un taxi. Un vieux tacot beige arriva au signe de Serval, en dégageant un grand panache de fumée noire. L'homme à l'intérieur demanda dans un anglais haché au couteau, où voulait aller notre homme.Il lui demanda la place Rouge. Ils passèrent sur ce qu'il pouvait ressembler a une autoroute.Les voitures, les unes à la suite des autres essayaient de se déméler du blizzard qui n'avait de cesse de souffler. Pour passer le temps le chauffeur essaya d'engager la conversation.
-Z'est la bremière fois que vous venez visiter nodre belle mère badrie camarade?.
-Oui...
-Vous n'êtes pas très bavard, camarade.Z'est le blizzard qui vous gèle les lèvres.
-C'est possible.Je n'ai pas l'habitude de parler à qui que ce soit...
-Vous verrez camarde,La place rouge vous déliera surement la langue.Pbour ma bart, je connait une bonne établissement sur la blace rouge. Il s'abele "Au cuirassé Potemkine".
-Je n'y manquerai pas d'y aller, merci...
La discustion s'arrêta là.Quelques minutes plus tard le taxi entra sur la place Rouge et s'arrêta.
-Za fait 100 roubles camarades.
-Tenez.
-Berci camarade, bassez une bonne zéjour dans nodre beau bays!
Serval sortit du taxi, la neige battait son visage et s'intensifiait.Il se dirigea vers le bar indiqué par le chauffeur. L'établissement ce trouvait à environ 100 mètres du Kremlin gardé en son entrée par deux gardes plus deux sections d'élite qui faisaient des rondes en sens opposés. Serval regarda autour de lui, sur tout les toits se trouvaient au moins un homme en arme et un tireur d'élite. Il se demanda si s'était à cause de la venue de quelqu'un d'important où si c'était le folklore local qui voulait ça.
Il poussa la porte du "Cuirassé Potemkine". une forte odeur de Vodka et d'autres boissons locales embuaient la salle. Des filles dansaient sur des barres avec un tas de vieux russes qui jetaient des billets à leurs pieds pour qu'elles se déshabillent. Ces hommes avaient comme de la bave qui coulaient sur leurs joue et leur yeux semblaient sortir de leurs orbites en voyant ces pauvres enfants mortes de peur qui ondulaient le long des barres de danses. La majorité d'entre elles n'avaient a peine que 18 ans.
* Faut vraiment être un abrutis pour faire travailler ces gamines. Elles sont à peine majeures. Que sa peut être c.. un homme pour pouvoir ce faire du fric.*
Il tourna la tête et vis sur une espece de canapé un homme entouré de deux filles qui tremblaient presque. Deux hommes en noir avec les cheveux en arrière semblaient protéger l'arutis du milieux qui regardaient ses filles danser et pensaient au petit pactole qu'il allait se faire sur leur dos. Une dizaine d'hommes en noir surveillaient la salle et une demi-douzaine se trouvaient derrière une sorte de baie vitrée à l'étage. Serval s'approcha du comptoir et demanda une bière. Le barman sorit un verre salle et lui servit sa bière en gromelant. Soudain un des hommes en noir s'approcha de Serval, lui tapota sur l'épaule et lui dit :
-Etranger, mon patron te demande si ses filles ne te plaisent pas!
Serval se retourna et vit qu'il était le seul à ne pas regarder ces pauvres danseuses.Il se retourna face aux bouteilles et lui répondit:
-Dis à ton patron que sa m'interesse pas de voir des gamines se trémousser devant une tripotée de vieux pervers et qui ont les foies de se faire buter par les sbires d'un c...... de patron véreux.
-Tu joue avec ta vie camarade!
-C'est toi qui joue avec la tienne.
A ces mots, l'homme en noir sortit un couteau à lame rétractable et attaqua Serval. IL lui bloqua le bras et imprima une torsion telle que son coude céda un fit un angle à 90° mais pas dans le bon sens.Puis il lui envoya un uppercut qui l'envoya s'écraser sur une des tables dans un bruit assourdissant.
Les vieux se retournèrent et quittèrent en courant l'établissement, les filles quant à elles partirent se cacher dans leurs loges.
Deux sbires armés de battes de base ball avancèrent vers Serval. Ils frappèrent et il les bloqua avec ses avant bras dans une epsèce de bruit métallique. Le bois des battes se brisa.Il se lança les deux pieds en avant en direction d'un des genoux de chaques sbires qui se brisèrent sous le choc.
Trois hommes en moins, il en restait donc 9 en bas et 6 en haut plus le patron et le barman qui s'était réfugié sous son comptoir. Celui-ci se releva avec un fusil à pompe. Il tira trois fois ce qui projeta trois sbires sur le mur ,le repeignant de ce fait à la cervelle et aux intestins , le barman n'avait pas réeussit à toucher Serval qui sauta sur le comptoir avant que l'homme n'ait armé une quatrième fois son fusil. Servla saisit une bouteille de vodka qui trainait sur le comptoir, la brisa en deux et en enfonça un bout dans la tête du barman qui s'écroula mort.
Il prit le fusil, réarma et ira jusqu'a vider les cartouches du fusil. Bilan du tir:le sang et les cervelles de six abrutis étaient venus compléter la fresque murale entamée par le barman quelques secondes plus tôt. Tous les hommes de l'étage descendirent armés de Glocks et d'AK-47.
Il ne restaient en tout et pour tout que six hommes de main et le boss qui s'était planqué derière son canapée qui lançaient des injures en russe et semblait promettre àSeval une mort atroce. les hommes entamèrent une première salve sur le comptoir mais ne visaient pas avec la précision du diable puisqu'imbibés de quelques litres de vodka. Servla sortit ses griffes et attendit que la distribution de dragée fut finie avant de sortir et se lancer à l'assaut. Une fois les chargeurs vides, il se jeta sur l'un d'eux et lui trancha l'artère fémorale.
Les cinqs autres sortirent des couteaux et se jettèrent sur lui. Il para 3 coteaux avec ses griffes et deux autres l'atteignirent en pleine poitrine. Serval s'écroula. Les hommes commencèrent à hurler de rire, l'injuriaent, lui crachaient dessus. Quand soudaien , l'un lui envoya un coup de pied dans les valseuses.
Erreur fatale!. Les yeux de Serval s'ouvrirent, il attrapa la jambe du responsable et envoya un coup de genoux tellemnt puissant dans le genoux du sbire que son articulation se libéra du fémur, du tibia et du péroné, déchira la peu et finit dans la tête d'un autre homme en noir. L'homme hrulait à la mort et voyait que sa jambe n'était rattachée à sa cuisse que par un lambeaux de peaux.
Les quatres autres hommes tentèrent de s'enfuir en vain. Serval sauta dans le dos de deux et avec ses griffes leur sectinna la moelle situes entre la cinquième et la sixième cervicale.Ils s'écroulèrent mort. Les deux autres le suppliaient dans tous les dialectes qu'il connaissaeint de ne pas les tuer mais la fureur de l'arme X était à son paroxisme. Il les frappa aux niveau du nombril et remonta d'un coup sec ouvrant en deux le ventre des hommes.
La salle était macculée de sang, Serval se calma et se dirigea vers le canapé. Il vit le boss recrocvillé sur lui même qui pleuraient et qui priait pour que l'homme aux griffes ne viennent pas le tuer.
Serval le choppa par le haut du col. L'homme hurlait de toutes ses forces et se faisait dessus. Il promit à Serval une montagne d'argent, des filles, tout ce qu'il voulait en échange de sa vie.
Mais cela n'intéressait pas Servla. Il attacha l'homme à l'une des barres de danse avec ce qu'il avait put trouver, en gros des intestins et des tendons. Serval lui imprima une blessure profonde qui devait l'achever dans les prochaines heures.
Ceci fait, il se dirigea vers les coulisses où se trouvaient les gamines qui étaient encore plus mortes de peur qu'à l'acoutumé. Il leur demanda de s'habiller chaudement et de se mettre un bandeau sur les yeux pour ne pas voir le carnage qui s'étaient déroulé dans la salle de bar.
Il alla chercher dans les caisses et le coffre fort du bar et trouva dix millions de roubles. Il lespartageaentre toutes les filles et leur dit d'aller vivre leur vie loin de la Russie et loin des hommes véreux. Ils sortirent tous sur la place Rouge, la tempète s'était arrêtée.
Les gamines supplièrent Serval de les accompagner mais il dut refuser. Il les accompagna juste à l'aéroport où il se débrouilla pour les envoyer dans un lieu sûr dans le monde, en polynésie française avec des papiers russes et un certificat de réfugiées politiques. Elles voulurent le remercier, mais il leur dit juste de ne jamais essayer de le revoir et il reprit un Avion direction la Tour des vengeurs car Spider Woman l'avait appelé pour l'informer de la première réunion des vengeurs...
:fleche: La tour des vengeurs
(La suite au prochain épisode en Russie. Dîtes moi si ça vous a plût ou non SVP)