La Banque HSBC

:fleche: Bureaux

Lady Deathstrike arriva sur les lieux suivit par Dent de Sabre. Il s'est installé sur un toit pour voir l'action et comment Lady Deathstrike se débrouillait. Elle entra dans la banque. Elle avait retracté ses griffes (chose qu'elle fait rarement car cela lui fait un mal énorme). Elle se dirigea vers un guichet. Il y en avait dix au totale. 6 vigiles surveillaient la banque et des caméras de surveillances étaient dispositionnées aux quatres coins de la pièce. Arrivée au guichet, elle regarda le banquier et lui dit :

" Donnes moi ta caisse ou t'es mort ! "

Le banquier appella alors la sécurité, il ne se doutait pas que Deathstrike avait des griffes en adamantium.. Mais peu de temps s'est écoulé avant qu'il découvre le vrai physique de cette dernière. Elle déploya ses griffes, sauta sur le guichet, trancha la tête du banquier et se mit à hurler :

" Que tout le monde se couche. N'essayez pas de me tirer dessus je suis invincible. Donnez moi toute l'argent qui se trouve ici et il n'y aura plus d'autres victimes... "

Alors les autres banquiers préparaient les billets... Les vigiles restaient sur le côté. Lady Deathstrike faisait attention à tout, enfin presque tout, car elle ne se rendit pas compte que l'un des banquiers appelait les X-Men à leurs secours...

dent de sabre qui arriva juste apres elle regarda le spétacle avec admirration et lui dit:
- je vois que tu est tres forte, bon je te prend, et onb retourne chez nous ! avent que les x men deboulent.
puis il prit les sacs

:fleche: Infirmerie de l'Institut Charles Xavier.

Et elle volait jean...depuis l'institut. L'alerte avait l'air importante, de plus le fait que ce soit une mutante qui attaque la banque n'améliorait pas les choses, car enfin après tous ce que les Xmen avaient fait pour faire accepter les mutants à la société il ne fallait pas que des mutants fassent du mal à des humains. Elle arriva devant la banque et ouvra la porte de l'entrée principale :

" Tu comptes aller ou Dent de Sabre ? "

Alors Jean le projeta contre le mur dans la banque...

" Tu iras nul part tant que je serais là ! "

dent de sabre se releva et je ruo sur jean la la blalensa contre les vitre de la banque

- lady aide moi a lui flanqué une raclé !!!! vite !

Alors que Lady Deathstrike allait s’interposer, Les deux portes de La banque s’ouvrirent soudain avec fracas. Le choc fit exploser les vitres et la femme fut projetée à l’autre bout de la grande pièce.
Le vent, furieux et glacial vint alors remplir toute la Banque, laissant place à une femme resplendissante et aux cheveux d’un blanc magnifique.
C’était Tornade, qui arrivait sur les lieux du cambriolage, porté par son vent :

« Jean, désolé pour le retard ; je m’occupe de Lady, toi de la bête. »

Après ces mots, Ororo s’élança auprès de son adversaire mais se retourna un instant et cria au milieu de la pièce :

« Mesdames et messieurs, sortez tous, les X-men prennent la situation en main. »

La foule affolée se précipita alors vers la sortie, laissant Jean et Ororo seules faces à leurs adversaires respectifs…

[C’est partie ! Yeah !]

( alors comme sa je suis une bete ? )

dent de sabre se rua sur jean et lui flanqua un violent coup; que celle ci Qui se cogna contre un bureau

- c est qui le plus fort ?

Tornade ne put laisser s’échapper un cri de douleur et s’affala au sol. S’en voulant de ne pas avoir contré cette attaque, elle s’empressa de repousser son adversaire avec ses jambes.
Une fois relevé et Hors d’elle, Tornade répliqua aussitôt :

« Comment oses-tu défier une déesse ? »

Elle dirigea alors son bras en avant faisant soudain jaillir un éclair aveuglant et puissant sur son adversaire…

dent de sabre se releva et dit
- ok je te suite en laissant les sacs derrière lui.
puis il conrrut vers la sortie...

Ororo les laissa s’enfuir…Elle les regarda un instant s’éloigner puis se précipita vers son amie et s’accroupit à ses cotés :

« Jean, rien de cassé ? Tu vas bien ? »

Tornade resta un moment silencieuse en l’attente d’une réponse et se releva ensuite pour regarda les alentours :

« Et bien, on en a fait un sacré vacarme…j’ai peut-être abusé… » Dit-elle en se mordant la lèvre inferieur.

Une fois ceci terminé, Ororo ouvrit les deux grandes portes où des policiers les attendaient :

« C’est bon messieurs, la banque est à vous… »

Elle se retourna ensuite vers Jean :

« Bon, je crois que nous en avons terminé ici…rentrons à l’institut… »

C’est alors qu’Ororo, dans un élan majestueux, s’éleva dans les airs et survola les villes jusqu’à l’Institut.
:fleche: Institut Xavier.