Mais Ororo ne lui laissa pas le temps de fuir ; un vent monstrueusement violent l’encercla soudain et la fracassa contre le sol.
Tornade redescendit ensuite lentement et majestueusement du ciel, mais restant à distance grâce au vent, elle dit à Monet :
« Calme-toi M, je comprends ton agitation par ta nervosité mais il te faut l’évacuer autrement... »
Elle s’approcha alors encore un peu plus de sa camarade et s’exprima de sa voix redevenu douce :
« Discutons calmement, je suis prête à t’écouter… »
L’orage s’était alors calmé mais Ororo restait sur ses gardes, au cas où son amie riposterait…
Malheureusement, son amie ne répondit pas. Ororo la laissa partir et faisant demi-tour, elle se fit soulevé par son vent. Elle s'éleva soudain dans les airs et repartie voler, dans le grand jardin de l'institut.