Une nouvelle pensionnaire

Eileen explosa. Presque littéralement. À quelques différences près.

"C'est ça que tu veux que je devienne? Hein? Hein? Une folle mutante qui balance des trucs par les fenêtres et puis qui se tire en volant? Et après t'essaie de me faire croire que vous êtes pas dangereux et que vous êtes pacifique? Pacifique, mon cul oui!"

Cette fois, la colère de Eileen se fit beaucoup plus forte que sa peur. Mias ce n'est que bien plus tard qu'elle se rendra compte qu'elle n'était pas faché contre Wolverine, mais contre elle-même.

"Tu veux vraiment me donner des cours particuliers? Pour que je finisse comme vous tous, dangereux et désaxés? Et puis qu'est-ce que ça a de si fantastique, être un putain de mutos à la con? Hein? Pouvoir faire exploser des têtes? La belle affaire! Mais dites-vous une chose, tous autant de résidus d'être humains que vous êtes! Jamais je ne vais devenir comme vous. Tous ce que je veux, c'est découvrir ce que j'ai, me le faire enlever et ensuite m'enfuir le plus rapidement possible pour sauver ma peau."

(HJ: Hihi je sens que ça va être drôle...)

Serval en voyant l'état de colère et de haine de cette inconnue (parce que sa fait vingt fois qu'il lui demande son nom mais elle prefère lui hurler dessus.) ne savait plus quoi faire.

* Bon Logan calme toi, elle pète juste un cable, essaye de la ramener à la raison.*

Il sortit de sa poche intérieur un gros barreaux de chaise cubain (un gros cigare pour les néophites.) qu'il alluma. Il en tira une bouffée regarda la jeune fille et lui dit:

Nous ne sommes pas tous des désaxés. Il y en a qui sont un peu plus félés du bocal que d'autre. Mais chez les non-mutants c'est pareil. Tu as certainement déjà rencontrée des humains un peu voire complétement cinglés (cf moi).Ce qui a de bien à être un "putain mutos à la con" c'est que tu peux faire profiter le monde de tes pouvoirs. Pour ce qui est du fait de trouver ce que tu as, on y arrivera. Mais on ne te l'enlèvera pas.
Tu n'est pas malade, tu es juste différente."

A ces mots, Serval sortit ses griffes à titre d'exemple, et dit:

" Ces griffes, je ne peut pas les enlever. Elles sont là je m'y suis fait. Je possède un pouvoir auto-guérisseur. Il est là je ne peux l'effacer je m'y suis fait. Et puis sincèrement si nous étions tous des tueurs, ne croît tu pas qu'a l'heure qu'il est tu seraît en rondelles dans un ou deux sacs poubelles (parce qu'a cet âge là c'est du petit modèle donc sa remplit que deux sacs, si si j'ai essayé) au lieu d'être allongée dans une infirmerie avec un sac de glace à ta cheville. Enfin si tu veux t'enfuir attend au moins que tu sois guérie d'une part. D'autre part tu verras que dehors, lorsque tes pouvoirs referront surface, les gens te traqueront, ils t'emprisonneront et probablement t'envoyer manger les pissenlits par la racine."

Serval rentra ses griffes dans ses poignets pour ne plus effrayer la jeune fille et tira un dernier coup sur son cigare.

Sasha qui commencait à avoir mal à la tete a l'autre folle qui hurlait elle se redressa sur ses coudes et tira le rideau les regardants.

" Tu vas bientot te la fermer sale raciste? t'es comme nous bienvenue dans se triste monde! maintenant accepte le parce que tout tes préjugée et tes fausses croyance ben elles viennent de s'appliquer pour toi aussi pauvre petit bébé pleurnichard! "

Et oui Sasha pouvait être méchant. Elle enleva l'aiguille qu'elle avait dans la main et se leva doucement énnerver.Elle n'aimait pas le genre de personne conne qui avait dans l'autre lit.Elle ne dit mot et partit alors en claquant la porte de l'infirmerie.

[ Quelque Pars ]

"Ok. Je m'attendais à ce que tu réponde un truc comme ça. Je m'excuse. Je savais que... En fait je me doutais, plutôt, que personne ne pourrais me soigner. En fait, je ne sais même pas ce que j'ai..."

Rhapsody pencha la tête par en avant, un peu gênée.

"Je m'excuse..."

Serval regarda la jeune fille un peu honteuse. Il ne la connaissait que depuis quelques heures mais il sentait qu'il lui devait quelquechose, il se devait de l'aider.Pourquoi devait-il le faire il ne le savait pas. Il était sûre d'une chose c'est que cette inconnue avait besoin d'aide. Elle était en manque total de repère et qu'elle avait besoin d'une main pour l'aider à remonter le gouffre.Il lui dit:

"Ce n'est pas grave, au début cela nous surprend tous lorsque nous découvrons nos pouvoirs. Nous sommes dépassés par les évenements mais petit à petit on refait surface. On apprend à vivre; à maîtriser notre don et à le mettre au service de l'humanité. Pour ce qui est de ton ou tes pouvoirs nous t'aiderons à le découvrir.Tu n'as pas de soucis à te faire."

"Tu... Tu es sûr? Parce que je ne sais pas si je devrias essayer d'aller plus lion. Peut-importe ce que ce soit, il y a toujours des chances pour que ça s'en aille non? Et puis, ça aurait pû être vraiment une hallucination. Enfin, pour ce que j'en sais..."

Eileen s'était calmé après avoir dévisagée longuement la petite pimbèche en mal d'attention qui lui était tombée dessus comme une brique de l'Empire State Building sur la tête d'un passant. Il semblerait qu'un évanouissement ne l'ait pas fait suffisamment remarquer, elle en voulait plus. Certaines personne étaient vraiment irrécupérable...

"Tu as une idée de ce que je pourrais faire, maintenant?"

La jeune fille avait repris son calme. Serval sentit que ses battements de coeur étaient plus éspacés. La jeune fille commençait à ne plus avoir peur de ce monde qui l'entourait et qui , comme Serval le préssentait, allait devenir le sien pour le restant de ses jours. Il lui dit:

"Si tu es une mutante, je doute que cela ne change un jour.Mais pour le moment rendors-toi, il faut que tu récupères. Lorsque tu seras guérie, nous verrons ce que tu as réelement."

Serval pris une chaise et s'asseya pour veiller sur la petite.

"D'accord. Merci beaucoup pour ce que tu as fait tout à l'heure... Je ne sais pas trop où je serais en ce moment..."

Eileen se roula en boule, mais en faisant attention à sa cheville. Elle était encore douloureuse mais c'était moins grave que tout à l'heure. Demain elle pourrait probablement marcher dessus. Puis, malgré le fait qu'elle ne connaissait rien de son samaritain, et qu'elle ignorait à proprement parler où elle se trouvait, et qu'elle ne savait pas ce qu'elle était réellement, elle parvint à s'endormir...

Lorsque la jeune fille s'endormie enfin, Serval se leva, ouvrit la fenêtre et fuma un cigare pour se remettre de ses émotions. Une fois cela fait, il retourna auprès d'elle et ne fermit pas un oeil de ce qu'il restait de cette nuit riche en émotions. Il savait juste que la jeune fille était en sécurité et qu'elle venait de basculer dans un monde totalement inconnu qu'elle allait devoir apprivoiser.....

Les heures s'écoulèrent.

Lorsque la jeune fille ouvrit les yeux, les premiers rayon du soleil avaient déjà percés l'horyzon depuis un bon moment. Elle avait les cheveux en bataille et des petits yeux comme lorsque quelqu'un sort d'un sommeil profond et très mouvementé.Serval qui n'avait pas cligné ,ne serait-ce que d'un oeil depuis qu'elle c'était endormie se leva et lui dit

"Bien dormit? Ta cheville va mieux?Thé, café chocolat?"

"Oui. Je crois que ça va mieux aujourd'hui. Je devrais pouvoir marcher sur ma cheville et... Et puis faire ce qu'il faut pour... tu vois quoi..."

Eileen passa une main dans sa tignasse pour essayer de les replacer un peu mais rien n'y faisait, elle aurait besoin d'une brosse à cheveux. Puis, elle se rendit tout à coup compte qu'elle portait encore la robe qu'elle avait pour sortir hier soir. Et en plus, elle avait laissé tout ses vêtements chez elle...

"Je prendrais bien un café, s'il y en as bien sûr..."

" Un café, sa marche. Oui, après que tu ais mangé un petit quelquechose, nous irons voir ce que tu as, enfin nous essayerons de voir quels sont tes pouvoirs et leurs effets. Si tu veux te changer, il ya des vêtements propres dans les armoires de la pièce. Mais ne prend pas de robe ou de jupe.Au cas où je doive pour découvrir tes pouvoirs employer une manière on va dire un peut brutale donc privilégie un pantalon et chaussures de sport. Ce n'est pas un défilé de mode que tu vas faire."

Serval lui apporta son café et un pain en chocolat. Il se dirigea vers la porte de l'infirmerie , se retourna et dit à la jeune fille:

"Je serais dans le jardin. A tout à l'heure." dit-il avec une voix neutre.



:fleche: le jardin